L'auteur raconte comment elle a vidé la maison de ses parents, ni théorie du deuil, ni analyse, un témoignage personnel. Lieux de souvenir où se nouent des instants de bonheur, des moments de conflit, une traversée du monde des choses de l'enfance, des objets perdus et retrouvés...
L'auteur raconte comment elle a vidé la maison de ses parents, ni théorie du deuil, ni analyse, un témoignage personnel. Lieux de souvenir où se nouent des instants de bonheur, des moments de conflit, une traversée du monde des choses de l'enfance, des objets perdus et retrouvés...
Evocation de la manière dont les parents vivent la période où leurs enfants quittent la maison familiale tout en se retrouvant confrontés à la mort de leurs propres parents. Coincée entre ces deux générations, la personne voit ses repères vaciller et les rôles changer. L'auteure, psychanalyste, explique comment faire de cette double perte une métamorphose intérieure pour un nouveau départ.
L'héroïne traverse le miroir lorsqu'elle se découvre un cancer. Dans le laboratoire du grand chimiste et chez Lady Cobalt, elle est entourée d'objets magiques et de personnages extravagants. Les uns la persécutent, les autres la protègent
Apres avoir vide le grenier de ses parents, Linda Flem va lire leur correspondance amoureuse, celle qu'ils ont echangee entre 1946 et 1949, de leur rencontre a leur mariage.
Les habits collent à la peau. Ils nous protègent et nous exposent. Le vêtement happe le regard social et trahit notre part d'ombre. Lydia Flem raconte les vêtements de ses souvenirs.